Ulriken, l’éternel

Je crois qu’on pourrait résumer les choses ainsi : il a enfin fait beau durant un week-end, alors on a pris nos petites jambes et on a grimpé Ulriken. Ca faisait bien quelques mois qu’on n’y était pas retournés (en soirée l’automne il vaut mieux se tourner vers Fløyen/Rundemannen) et c’est toujours drôle quand enfin on peut sortir le nez dehors, de rencontrer pleins de norvégiens faisant de même – mais eux ont des chiens en double exemplaire (un jour j’ai dit ca à une collègue, elle m’a dit qu’elle aussi elle avait deux chiens identiques, comme ca ils pouvaient jouer ensemble).

Vue sur Nordåsvannet:

L’antenne d’Ulriken, et au fond, Askøy:

Au sud :

Ok, là, je croyais qu’il y avait une pierre sous la boue. Eh bah non.

Vue sur le Brann Stadion. L’équipe de foot qui y joue, c’est toute une histoire! Et l’histoire actuelle veut qu’ils soient aux portes de la relégation : ils vont jouer 2 matchs barrages. On est allés les supporter lors du match décisif contre Sogndal (c’est à dire qu’on a vu les 2 et 3ème derniers du classement du championnat norvégien), mais on ne connaissait pas encore assez bien l’hymne pour le chanter avec la main sur le coeur.

Ja vi elsker! (ca veut dire “oui nous aimons” et c’est l’hymne national. Evidemment lors d’un match de foot, ca le fait moins que Aux armes citoyens!)
On a mangé là, c’était très beau, on avait très froid aux doigts, alors on est très redescendus.

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